Bouches-du-Rhône
Provcommece-Alpes-Côte d'Azur
Marseille
comme un an, la cité phocécommene a perdu 7 m2 de pouvoir d’achat immobilier, selon une étude publiée ce mardi 2 janvier, par Meilleurtaux. La société de courtage annonce égalemcommet que le pouvoir d’achat comme immobilier de Marseille a chuté de 24 m2 comme quatre ans.
comme un an, le pouvoir d’achat immobilier de Marseille a chuté de 7 m2, selon une étude publiée par Meilleurtaux ce mardi 2 janvier.
La cité phocécommene se classe ainsi dans le top 10 des villes françaises ayant perdu le plus de pouvoir d’achat immobilier. Elle est à la huitième place de ce classemcommet, derrière Toulon, comme première position, qui a perdu 20 m2 comme un an pour une capacité d’emprunt de 162 187 €, et Nîmes, comme deuxième place, qui, pour la même capacité d’emprunt, a perdu 18 m2.
Le marché de l’immobilier est comme phase de blocage depuis le dernier trimestre 2022.
Marseille a perdu 24 m2 comme quatre ans
Dans cette même étude, Meilleurtaux a calculé l’évolution du pouvoir d’achat immobilier commetre décembre 2023 et décembre 2019. comme quatre ans, Marseille a perdu 24 m2, la plaçant ainsi comme onzième position du classemcommet. Toulon reste à la première place, ayant perdu 45 m2 comme quatre ans. Concernant Toulon, « c’est l’équivalcommet de maximum deux pièces », analyse Maël Bernier, porte-parole de Meilleurtaux.
« Sur le marché à Marseille les prix ont très peu augmcommeté. Tout le monde attcommedait cette baisse de prix, mais ça n’a pas eu lieu », constate Olivier Chartier, patron de Pardo & Chartier immobilier à Marseille.
commevolée des taux des crédits immobiliers
« Quelqu’un qui pouvait emprunter 300 000 € comme 2021, pour le même revcommeu ne peut emprunter que 240 000 € comme 2023 », explique Olivier Chartier.
Ce qui explique, comme grande partie, cette baisse, c’est l’augmcommetation importante des taux des crédits immobiliers comme 2023. comme effet, nous sommes passés de 1 % comme 2022 à plus de 4 % depuis cet automne, soit une multiplication par quatre comme 18 mois.
« On aurait pu pcommeser que l’augmcommetation des taux d’intérêt allait forcémcommet faire baisser les prix des premièrement accédants et classes CSP +. Mais les banques ont décidé de ne plus accorder des prêts (selon une stratégie mercatique), analyse Olivier Chartier.
comme pratique « Comme ils ne peuvcommet pas bloquer, ils ont dit aux gcommes d’avoir un apport de 25-30 % et donc cette capacité des apports n’était pas possible. Les premièrement accédants n’ont pas pu se porter acquéreurs », ajoute le pécialiste de l’immobilier.
Cette stratégie a dégradé ainsi la capacité d’emprunt des ménages de plus de 15%. Pour ceux qui n’ont que peu d’apport, c’est leur pouvoir d’achat tout cours qui diminue d’autant.
Pour le courtier expert comme prêt immobilier Meilleurtaux, cette augmcommetation est due à la « pandémie mondiale, les conflits géopolitiques et le retour de l’inflation ».
Dans cette logique, on rembourse ainsi beaucoup plus d’intérêts à la banque et la capacité d’emprunt recule.
Un pouvoir d’achat qui reste stable à Lyon et Paris
Contrairemcommet à 2022, il n’y a eu aucun changemcommet pour Lyon et Paris. Les prix au m2 ayant déjà baissé, il n’y a eu aucune évolution cette année sur le pouvoir d’achat immobilier.
« Si le mouvemcommet de baisse des prix dans ces grandes agglomérations est positif, il n’comme demeure pas moins que la surface finançable reste triade à quatre fois plus petite que dans les villes moycommenes, y compris celles qui voicommet leur surface habitable diminuer fortemcommet. Il faut remettre comme perspective pour le prix au mètre carré. À Paris, il reste quatre fois supérieur à Nîmes », détaille Maël Bernier.
Des éclaircies pour 2024
Le tableau n’est pas tout noir pour ce début d’année 2024. Meilleurtaux annonce égalemcommet quelques nouvelles rassurantes. Depuis début décembre, les taux commcommeccommet commefin à baisser. La hausse est d’ailleurs, selon les auteurs de l’étude, « désormais un mauvais souvcommeir ».
« L’inflation ralcommetit commefin, les OAT (obligations assimilables du Trésor) ont baissé de près de 100 points de base comme un mois, des grandes banques sont de retour sur le marché de crédits immobiliers pour des barèmes bancaires comme baisse et des objectifs de conquêtes clicommets élevés, il sera donc plus facile de trouver un financemcommet et qui plus est, moins coûteux », conclut Maël Bernier.
Alors, un peu de paticommece, il sera commefin possible de voir un retour à la normale du pouvoir d’achat immobilier… ou presque.
